Le Syndicat de l’Ouest Lyonnais (SOL) organise une réunion publique le lundi 14 octobre à 19h pour échanger avec les habitants sur l’avenir du territoire. Au cœur des discussions : la révision du Schéma de Cohérence Territorial (SCoT), un document qui définira les grandes orientations de développement pour les 20 prochaines années.

Le Syndicat de l’Ouest Lyonnais, créé en 2013, regroupe les communautés de communes du Pays de l’Arbresle, des Vallons du Lyonnais, du Pays Mornantais et de la Vallée du Garon. Cette structure permet aux communes de l’Ouest Lyonnais de parler d’une seule voix et de coordonner leurs actions, notamment face aux enjeux liés à la proximité de la métropole lyonnaise.

Des choix importants à faire pour l’avenir

La réunion du 14 octobre sera l’occasion pour les habitants et acteurs locaux de s’exprimer sur plusieurs sujets clés : l’évolution de la population, le développement économique, l’agriculture, l’urbanisme et la protection de l’environnement. Un accent particulier sera mis sur la transition écologique, avec notamment la question des énergies renouvelables et l’adaptation au changement climatique.

Vers le « zéro artificialisation nette »

Parmi les objectifs majeurs figure l’atteinte du « zéro artificialisation nette » d’ici 2050. Cette ambition nationale vise à stopper l’étalement urbain pour préserver les espaces naturels et agricoles. Le SOL souhaite construire avec les habitants un projet qui respecte cet objectif tout en maintenant le caractère unique de l’Ouest Lyonnais.

Une démarche participative

« Ensemble, nous bâtissons l’avenir d’une région où il fait bon vivre, travailler et investir », rappelle le Syndicat de l’Ouest Lyonnais. Cette réunion s’inscrit dans une volonté de consultation large des habitants pour définir un projet de territoire équilibré et durable, qui réponde aux besoins de tous.

Les habitants intéressés sont invités à participer à cette réunion publique, lundi 14 octobre à la salle des Vallons, 25 chemin du stade à Vaugneray.

À lire aussi : Grève à la clinique de l’Ouest Lyonnais : les salariés tirent la sonnette d’alarme